Recherche par auteur : Starobinski, Jean
3 résultats.
Lu par : Denis Corminboeuf
Durée : 22h. 13min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 20329
Résumé:D'où viennent la tristesse profonde, le désespoir, le délire, la fureur, le suicide ? Contre ceux qui invoquaient une cause surnaturelle ou une punition divine, la pensée médicale a fait prévaloir, dès l'Antiquité, une cause naturelle, une humeur du corps : la bile noire, c'est-à-dire la mélancolie. Sa noirceur, souvent comparée à celle du charbon ou de l'encre, était l'indice de son pouvoir maléfique. Cette humeur n'existait pas. Mais n'est-ce pas avec de l'encre que l'on écrit des poèmes? Durant plus d'un demi-siècle des thèmes liés à la mélancolie ont orienté certains de mes travaux. Les voici rassemblés, grâce à l'amitié de Maurice Olender. Ce livre espère démontrer que la mise en perspective de la mélancolie peut donner lieu à un « gai savoir ».
Lu par : Jean Starobinski
Durée : 1h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17380
Résumé:Jean Starobinski, né à Genève (Suisse) le 17 novembre 1920, est un historien des idées et théoricien de la littérature. Il est en outre médecin, ayant étudié les lettres classiques et la médecine, à l'université de Genève (Suisse), où il a obtenu un doctorat ès lettres et un doctorat en médecine. (wikipedia)
Lu par : Michelle Greder-Ducotterd
Durée : 30min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 65503
Résumé:L'histoire est l'une des disciplines fondamentales chères à Jean Starobinski. La Grande Prière des Confédérés, texte de 1517, débuts de la renaissance française et premiers soulèvements de la Réforme, tout comme des disettes et épidémies de peste, célèbre les bâtisseurs des chemins du corps et de l'esprit, ceux qui ont permis à la Suisse de se connaître et de s'ouvrir sur le monde. Jean Starobinski en propose ici une lecture spirituelle universelle et met en garde aujourd'hui contre deux préjugés d'orgueil des sociétés nanties: le repliement sur soi et le ressentiment justicier